
CIRCOULEUR : Les peintures recyclées des restes des chantiers

Seul fabricant de peinture recyclée en France, Circouleur revalorise et transforme les restes de peintures des chantiers, évitant leur incinération et l’extraction de nouvelles matières premières.
28 millions de litres de peintures incinérées/an en France…

La start-up bordelaise propose des peintures écologiques haut de gamme, faciles à poser, à un prix accessible, et adaptées à tout projet de décoration d’intérieur.
… soit 150 000 tonnes de CO2 dans l’atmosphère
Déclinées en 14 couleurs, elles sont de qualité professionnelle, et composées de plus de 70% de matière recyclée, favorisant l’accès aux labels écologiques (E+C, BBCA, BREEAM…).

Avec des émissions de COV les plus basses du marché, elles conviennent parfaitement aux bâtiments accueillant des personnes sensibles, et assurent une meilleure qualité de l’air intérieur.
La déco responsable respectueuses de l’environnement ET de votre santé
Les recettes, élaborées en laboratoire par une équipe R&D, mélangent différentes peintures pour un effet synergétique offrant une meilleure qualité finale.

Enfin, Circouleur œuvre en faveur de l’emploi solidaire, en confiant le tri des peintures à des personnes éloignées du monde du travail.
Une peinture écologique avec un impact environnemental très faible
©circouleur
IMMOBLADE : Les solutions innovantes de protection solaire passive

Immoblade est une start-up toulousaine, spécialisée dans la protection solaire des vitrages, grâce à une technologie brevetée passive, performante toute l’année et sans maintenance.
Aussi performant qu’un store externe mais sans la maintenance coûteuse…
Avec ses lames brise-soleil fixes, dont l’orientation est adaptée à chaque façade du bâtiment, son système bloque le soleil en été, et le laisse entrer en hiver.

Bio-climatique, élégant et simple, il est particulièrement adapté aux bâtiments du secteur tertiaire : bureaux, sièges sociaux, centres commerciaux…
… et plus performant qu’un verre teinté qui filtre le soleil de la même manière toute l’année
Cette innovation majeure pour la protection solaire et l’efficacité énergétique des bâtiments, compte parmi ses soutiens Airbus, l’Agence Spatiale Européenne, l’ADEME, BPI France et la Région Occitanie.

La startup développe Immoblade sérigraphie, la solution design, et Immoblade mini-stores, directement intégré dans un double-vitrage.
Dompte le soleil pour économiser de l’énergie
Le projet a reçu en avril 2018 le prix de la CCI France – Suisse, au Salon International de l’Invention de Genève, ainsi qu’une médaille d’Or avec Félicitations du Jury, et une de ses solutions a obtenu le label Efficient Solutions de la Fondation Solar Impulse.
©immoblade
XTU ARCHITECTS : Les biofaçades aux microalgues

Les architectes Anouk Legendre et Nicolas Desmazières de l’agence XTU, sont souvent primés sur le plan architectural et environnemental : matériaux naturels, structures & enveloppes légères, bio-climatisation, agriculture urbaine… ou encore leurs façades végétalisées.
Une biotechnologie qui pourrait bien redessiner le visage de l’architecture
Ces dernières ont été élaborées avec la collaboration du SymBIO2, d’un laboratoire du CNRS, d’un bureau d’études et d’un algoculteur.

Ce concept de biofaçades actives, intégrant des cultures de microalgues, repose sur le biomimétisme : des interactions biologiques réciproquement profitables entre deux organismes vivants.
Imaginez un double vitrage rempli d’eau dans laquelle on a placé du plancton ; un aquarium vertical et plat en quelque sorte
En effet, les algues ont une fonction bio-climatique, en créant un tampon thermique l’hiver pour emmagasiner l’énergie solaire, ce qui améliore l’isolation du bâtiment. Ouverte l’été, la biofaçade ventile et rafraichit la structure.

De plus, elles consomment le CO2 du bâtiment, produisent de l’oxygène, et peuvent donc contribuer à dépolluer la ville.
XTU rêve de cités productives et plus seulement consommatrices
Enfin, une fois récoltées, elles peuvent être transformées en aliments protéinés, en médicaments, ou en cosmétiques.

Après le lancement d’un pilote sur quatre étages en 2016, à Champs-sur-Marne, le bâtiment lauréat de l’appel à projet Réinventer Paris, se dressera sur plusieurs centaines de mètres carrés dans le 13e arrondissement.
Elle permet une économie de 50% sur les besoins thermiques du bâtiment et de 80% sur ceux de l’algoculture par rapport à une culture en bassin
XTU en installera aussi au futur Musée de l’Ecologie de San Francisco, et à Hangzhou, sur des tours de verre torsadées.